Mademoiselle marche sur les mains ou reste immobile tandis que monsieur lui tenant fermement les cuisses va et vient en elle. Les plus acrobates d’entre vous pourrons jouer au jardinier et sa brouette.

Les illustrations Sexy de Serge Birault

LA CÉLÉBRE BROUETTE JAPONAISE

Il fait beau, l’air de la campagne et vivifiant. L’heure est à la fantaisie rurale. Mademoiselle, pour cela doit être un minimum sportive et se tenir fermement sur ses bras. Si vous êtes en bonne condition physique, Mademoiselle, vous pouvez avancer ou reculer, vous laisser mollir ou vous tenir fermement… N’hésitez pas à bien serrer vos mollets et vos chevilles de parts et d’autres de la poitrine de Monsieur ou derrière ses fesses. Vous y arriverez bien, vous êtes orgueilleuse et forte ! C’est évidement Monsieur qui sera la plus part du temps le maître du jeu en jouant avec vos cuisses et vos fesses.

Voilà bien l’une des positions les plus en vogue dans la littérature libertine du XVIIIe. En ces temps rustiques, la plupart des positions étaient associées à des images campagnardes. Cette figure s’appelait donc la brouette :

« Quand une femme a les deux mains par terre, les fesses en l’air, et que l’homme tient ses deux cuisses sous les bras, lui met le vit au con, la faisant marcher à mesure qu’il la pousse du cul ». Pouvait-on lire dans La Putain Errante en 1760.

Mais pourquoi ne pas aller jusqu’au bout ? Les manuels d’érotologie proposaient une position autrement plus spectaculaire :

« Quand l’homme étant nu et debout, tient les deux jambes de la femme à ses côtés, la faisant aller et venir tout étendue, tenant une roue entre les mains, et l’encornant dans cette positions, cela s’appelle foutre en brouette ».