Soyez offensés par vos propres vies !

Ce sujet trotte dans ma tête depuis quelques temps déjà et, bien que le temps me soit donné, je vous avoue que rédiger dessus me paraît déjà long…

Je ne sais pas si cela est typiquement Camerounais ? Propre à l’Afrique ou même mondial mais, il y a des olibrius, énergumènes, tocards (reste à ce jour mon insulte préférée) communément appelés HATERS qui se nourrissent du négatif !

J’en parlais encore avec Fatou aujourd’hui (Black Beauty Bag) et, nous restons par moment hilares face à tant de méchanceté et d’acharnement gratuit….

Je ne dis pas qu’un être doit être parfait. J’ai moi même des moments de hate MAIS, une chose est certaine, quand je n’aime pas quelque chose, je m’en éloigne. Je ne cultive pas l’amour de la détestation & me ment encore moins à moi même. Il faut savoir se coller aux sources d’énergies que l’on souhaite posséder.

J’ai presque envie de dessiner le portrait de certains « haters » par moment… Il y a tellement de faux, de fausses et d’impostures !

Les gens vivent beaucoup plus mal qu’on ne le pense vous savez et, les réseaux sociaux proposent de voir la vie des autres mais également de vivre la sienne sous différents angles.

Si plusieurs s’inventent des vies et en arrivent à se taguer au Sri Lanka alors qu’elles n’ont jamais quitté Douala, d’autres c’est tout l’inverse…. Quand vous partagez ce qui vous rend heureuse, on dit que vous vendez du rêve. Vous voyez la complexité de la digisphère ?

On se retrouve dans un prisme où, les gens qui vivent pour le « qu’en dira t-on » se créent une parfaite identité au travers des réseaux sociaux. Vous en arrivez à les admirer, clamer une réussite inexistante et dépourvue d’intérêt (qui suis-je pour définir l’intérêt dans le regard des autres vous me direz)… Quant aux gens qui se moquent éperdument de plaire et font de réels accomplissements (aussi petits qu’ils puissent être) pour une évolution commune, eh bien, contre toutes attentes, ce sont ceux et celles-là qui ont le plus affaire aux frustrés, toujours cachés derrière un clavier azerty à frapper des messages insipides et anonymes (pour changer).

Ils ont affaire à une ribambelle d’aigris qui ont pour seules activités l’espionnage et la médisance. Vous rendez-vous compte du temps perdu ?

Ce sont les premiers (soyons sincères et disons-le ouvertement) : ce sont les premiERES à crier qu’elles sont solidaires, qu’il y a un réel sisterhood dans notre communauté : balivernes !
C’est de la poudre aux yeux pour mieux vous/nous détruire. « Ma chérie….. Je te déteste ».

En parlant de détruire : l’inaction est une forme de désistement. Quelle manque de solidarité en Afrique (je m’excuse, je voulais dire au Cameroun). Je ne connais pas réellement le fonctionnement des autres pays alors je m’en tiens à ce que je vois.vis.
Aucun soutien à l’unisson au sein de sa « communauté » seul le voyeurisme et le jugement dominent les langues bien fourchues des femmes qui n’attendent que votre échec. Les gens ne veulent miser sur vous que lorsqu’il y a une réussite (et encore..).. On écrase les potentiels et marche dessus à la faveur de l’aigreur….

Toujours à se plaindre qu’il n’y a pas assez de noires au sommet de diverses industries mais, en pôle position dans l’attente d’une chute éventuelle des étoiles montantes qui sillonnent la réussite.

Puis-je me permettre de vous dire une vérité ? Il ne sert à rien de s’épuiser à ralentir les gens dans leur parcours : SI CE N’EST PAS EUX, CE NE SERA PAS VOUS. LA VIE N’EST PAS UN ÉCHANGE DE MAUVAIS PROCÉDÉS.

“Love is a gift. It is to be cherished. It is to be nurtured. And most of all, it is to be enjoyed. If I could give my children one piece of advice, it would be this. Find it. Capture it. And never, ever let it go.”
― Heather Burch, Along the Broken Road

Le trajet vers le sommet est un parcours riche, long, challenging, décevant, solitaire mais surtout FORMATEUR. Très peu de monde sont prêts à vous tendre la main et vous donner des avis constructifs. Mais c’est par milliers qu’elles/ils inondent vos réseaux pour vous dire à quel point ce que vous faites est bien… Du « venez voir ».

Tout d’un coup, beaucoup se souviennent de votre entente lors d’une colonie de vacances, d’autres vous parlent d’un trajet de métro échangé sur la ligne 1 direction La Défense. Certaines vous cherchent même des problèmes pour se rendre intéressantes.

Vous voyez donc pourquoi ceux au sommet ne vous aide pas ? Parce que la distinction entre ceux qui veulent réellement faire avancer les choses et ceux qui sont là pour profiter (donc détruire) n’est pas une simple affaire !

Personne ne vous soutient mais tout le monde veut absolument savoir comment vous avez fait pour y arriver. On vous utilise et on vous jette… Hollywood est donc vraiment si proche du quotidien ?

Les gens vivent mal ! (Je sais, je l’ai dit plus haut mais je le mentionne à nouveau). Certaines personnes rêveraient d’avoir le quart de ce dont on jouit. Quelques bossent dure pour y arriver, le reste et bien elles sont là… Elles me lisent entrain de mentionner leur « cas de figure ».

D’ailleurs, je vais un peu m’amuser sur ces dernières lignes à retracer le portrait des Haters. Mesdames, cochez la case qui vous concerne !

– Vous savez, il y a ceux/ celles qui vous bloquent de partout (alors que vous ne les suiviez déjà pas) MAIS, qui créent des comptes anonymes pour pouvoir continuer à vous regarder ou, se connectent sur le compte de leurs amis pour se rincer la pupille, cherchent des ennemis en communs… Je vais les nommer …….. LES ZÉROS.
Une panoplie d’abruties incompétentes. Celles qui viennent checker vos photos sur whatsap et finissent par appuyer le mauvais boutons par inadvertance, ou encore, vous bloque sur les réseaux pour finalement vont check votre compte linked in (qui affiche les profils des visiteurs comme à l’époque de Hi 5). LES ZÉROS ont un point commun, on les attrape TOUJOURS d’une façon où d’une autre. Si vous voulez faire du « n’importe quoi » assurez vos arrières ! (Regardez, je suis plutôt cool, je vous donne même des astuces).

– Il y a les MOULINS A VENT, les ignares qui vivent dans un passé que seul Game Of Thrones peut encore comprendre. Elles ont un mauvais souvenir de vous (datant du collège) et, décident de saboter votre nom à la moindre occasion. N’ayant aucune nouvelle de vous depuis une vingtaine d’années, elles restent persuadées qu’elles vous connaissent aussi bien que le prix des nems qui se vendaient à la sortie de la classe de 4ième D.
Dans la même famille, il y a aussi les femmes qui passent leurs journées à médire sur vous et, dès que vous êtes en face n’arrivent même pas à vous partager le quart de leur « franchise ». INCROYABLE. Toute la semaine vous finissez de raconter à qui veut l’entendre « et quand je vais la voir c’est ce que je vais lui dire »…. Voici la personne en face de vous et même la regarder de travers semble être un parcours si épineux.

– LES LÉCHEUSES elles, c’est différent. Comme dit Fatou (et je pense que nous avons toutes à vivre ce cas de figure), il y a celles qui au départ vous font de la LÈCHE, ensuite vous LÂCHENT, puis vous LYNCHENT. Elles ont fini de vous admirer dans leur pauvre et maigre estime d’elles même (restons dans le contexte des haters). Elles finissent par voir le bout du tunnel grace à la lumière que vous avez mit sur leur passage pour paver leur chemin fait de terre battue. Et puis, le jour où elles tiennent sur la pointe des pieds, elles commencent à vous rabaisser pour se sentir plus importantes. « le Roi n’aime pas le Prince qui l’a vu pleurer » ? Je dirai même mieux : « Qui tient sur la pointe des pieds ne tiendra pas longtemps ».

– LES CHINEUSES. Les femmes qui cherchent la petite bête partout et, qui ont toujours un truc à redire sur le moindre sujet que vous abordez (ou non), votre façon de parler et la manière dont vous mâchez votre chewing-gum, la flûte de votre champagne (que vous ne trinquerez jamais à leur santé) et les dessous de vos histoires personnelles, professionnelles (et bien entendu celles de vos chiens & co). Elles, qu’est-ce qu’elles agacent…. Elles ne peuvent pas mieux faire mais dans un imaginaire daltonien, elles sont persuadées que vous faites mal. « FÉLICITATIONS » est un mot compliqué hein ? Vous voyez une « de vos sœurs » (comme vous aimez tant les appeler avec tout le concentré d’hypocrisie que cela comporte) à la UNE d’un magazine, le problème est devenu « de savoir combien elle a payé pour y figurer ». Vous remarquez l’ascension d’une autre femme et, votre nouvelle version des faits est « c’était facile attend, elle est tombée à pic ». Ma question est : VOUS ÉTIEZ OU LORSQUE LE « A PIC » ÉTAIT SUR LE MARCHE ? Sur le banc des fainéantes sans doute. Mais il est toujours plus facile de critiquer depuis son canapé pas vrai ?

– LES DISTRIBUTEURS DE FAUX.
Si certains vont à la banque pour retirer des billets dans les distributeurs automatiques, d’autres « haters » ont la palme lorsqu’il est question de distribuer du « n’importe quoi ».
La source de toutes rumeurs vient toujours de la même origine, même les rombières et les poissonnières sont passées à l’arrière du classement. Toutes les occasions sont bonnes pour distribuer de fausses informations sur vous afin d’enrayer sur votre crédibilité, voir pire, votre sérieux. Ce sont elles qui font de vous (aux yeux des autres), une femme « facile, sotte, folle, bizarre, pas diplômée, peu fiable etc…). Une ancienne fausse amie (ou une nouvelle d’ailleurs), quelqu’un qui a la bouche trop ouverte face à la futilité, l’ennuie, la jalousie… J’avoue que ce cas me fascine jusqu’aujourd’hui. Je n’ai toujours pas le motif de leur méchanceté… LEÇON A RETENIR ? Ne dépendez pas de l’avis du « peuple »… Ce qu’il pense de vous le regarde… En aucun cas vous ne devriez être concernées.

Anyway…

People take different roads seeking fulfillment and happiness. Just because they’re not on your road doesn’t mean they’ve gotten lost. H. Jackson Brown, Jr.

Ce qu’il faut retenir de mon texte est ceci :

Nous vivons dans une communauté ou l’écho des médisantes et envieuses retentit plus que prévu. Le peu de personnes réellement solidaires, investies, motivées et bien intentionnées restent noyées dans les abysses inexploités du désintérêt que notre société semble accorder aux vrais potentiels.

Quel dommage de confirmer les dires qui semblent laisser penser que le Cameroun est malsain et mauvaise langue. Je ne doute pas du potentiel des bons éléments, ce sont les mauvais qui m’inquiètent. Ils deviennent de plus en plus bruyants.

Il y a quelques années, il fallait se cacher pour faire du mal aux gens aujourd’hui, rire du malheur d’autrui est devenu un sport national si bien que, de peur de ne devenir une cible future, les gens n’osent même plus dire qu’ils sont heureux.
A la question : « comment vas-tu ? » la réponse est toujours « On est là, le pays nous gère », « la vie est dure », etc…
Que c’est triste de devoir cacher son état d’esprit de peur d’être broyée par la réalité de certaines mentalités Camerounaises qui sont non seulement étriquées mais tellement agressives face à la simplicité. A voir la politesse comme un bon moyen pour être marché dessus, l’amabilité pour de « l’esclavage», la gentillesse comme « moment opportun pour profiter de vous » etc… Les gens en fait, ils deviennent dures pour se défendre ??

Certaines alors… Toujours prêtes à être offensées par vos vies comme si les leurs n’auraient pas pu les offenser elles mêmes si seulement elles avaient un regard extérieur à leurs parcours…

Ecoutez-moi, lorsque vous trouvez votre cercle (famille, amis etc)… aussi petit qu’il puisse être, prenez soin d’évoluer dans la plus saine des atmosphères… Les ressources d’énergies sont inépuisables (bonnes comme mauvaises). Nourrissez le parti que vous souhaiter voir évoluer en vous.

Ne comptez pas sur celui à qui vous avez rendu service il y a 6 mois, ni même celle qui vous demande votre aide à l’heure ou je vous parle et encore moins sur « ceux qui peuvent » vous aider en un claquement de doigts… Ils ne le feront pas !
… Avancez en meute comme le font les loups et battez-vous pour faire retentir vos valeurs, ambitions, état d’esprit et positivisme (en espérant que cela puisse inspirer les gens qui cherchent une échappatoire à ce taudis qu’est la pensée pourrie)…

Beaucoup peuvent être coincés/perdus dans le mauvais système en attendant une lumière pour éclairer leur chemin… VOTRE DEVOIR N’EST PAS de faire de leur perdition votre nouvelle mission de sauvetage. LEUR DEVOIR EST de se rapprocher de ce qui leur va le mieux au cœur… Le changement est tout d’abord une action personnelle. Je le dis et le répète, on ne se nourrit que de ce qui nous anime…

Comme disait Mme Foning, « faut vous battre dans la vie parce que la vie c’est la bastonnade, battez-vous »…

La résilience et l’authenticité sont pour moi les mots clefs pour survivre dans cette jungle. La capacité à rester fidèle à votre définition de la vie et du bonheur (selon vos termes, sans comparaison) et, l’art de naviguer entre les torrents….

A bon entendeur ….

10 Responses
  • Johanna
    avril 19, 2017

    Hello Vanessa! Article intéressant et délicat à la fois je crois comprendre à quel points les personnes que tu décris peuvent être énervantes. Mais leur dédier un si long article montre à quel point elles ont pu te faire souffrir et qu’elles continuent, alors qu’elles ne méritent ni plus ni moins que ton ignorance…. car si elles avaient réduit leur existence à néant tu viens de les ressusciter en les mettant à l’honneur dans cet article.
    En tant que lectrice, j’aime ton blog car il donne envie de se faire belle, de voyager, de méditer… d’être une femme forte et indépendante mais pas d’être quelqu’un de méprisant et cet article est chargé de mépris (certes vis à vis de personnes qui ont pu te blesser et c’est compréhensible).
    Si tu me permets de te donner un conseil, ne gâche pas ce beau travail avec un article pareil. si cela peut t’apaiser je crois que personne n’est vraiment méchant mais ce sont nos actes qui le sont parfois notamment lorsqu’on est malheureux. Si ces personnes t’ont causé du tort c’est simplement qu’elles le sont et qu’elles ne sont pas suffisamment intelligentes pour voir le verre à moitié plein…
    Adresse-leur un message de paix et les plus intelligentes d’entre elles prendront exemple…

    • V.
      avril 19, 2017

      Ah ha Hello Johanna, cet article est très distant de l’impacte qu’autrui peut avoir sur moi dans la mesure où 1, je ne suis pas au sommet, j’apprends sur la route, et 2 je me moque littéralement du qu’en dira t on. MAIS, CELA RESTE UNE RÉALITÉ dont beaucoup d’entre nous font face et dont nous nous devons de ne pas ignorer. Mettre les choses en exergue ne veut pas dire en souffrir. Il ne faut faire aucune confusion. Pour finir avec ton conseil, mon travail de blogueuse n’est pas fait pour être beau et encore moins à vos yeux (sans méchanceté car par texte tu pourrais mal le prendre et pour te lire souvent, je sais que ta remarque vient d’un bon endroit). Il est fait pour être authentique face à moi, mes plaisirs et mes idées. Je ne leur adresse aucun message, je ne suis là pour éduquer personne et lorsque j’ai une remarque à faire, les concernés sont toujours personnellement au courant.J’écrirais sur la pluie qu’on me demanderait de colorer mon ciel d’un soleil aux milles feux. Je n’ai jamais fait partie de ces gens qui colorient sans dépasser les bords.. Je comprends ton envie de parfaire le portrait mais ce n’est pas mon parcours, j’aime cette imperfection qui est mienne et surtout, qui me va.

  • Florence
    avril 20, 2017

    Tellement vrai et tellement regrettable, l’africain est trop négatif, surtout la femme africaine et camerounaise et merci pour cet article Vanessa.

  • Annie
    avril 20, 2017

    Bonjour Vanessa ton article est très accrocheur, toujours avec une pointe d’humour que tu rajoutes à chaque fois, finalement c’est ce naturel qu’on aime, parce que c’est la vraie vie!
    Cet article relate effectivement le complexe d’infériorité, l’aigreur de la communauté africaine spécialement les camerounais(le seul pays que que peux citer, car j’y vient) Où en effet dénigrer et rabaisser les gens devient naturel ! Ce fléau finalement qui empiètent sur les mentalités. Où les préjugés deviennent habituels. Les mentalités doivent changer. Et le fait de le dénoncer aujourd’hui prouve aussi que ça nuit, on ne peut malheureusement pas être insensible à ça quand on aime d’où on vient.
    Merci encore pour cet article

  • Annie
    avril 20, 2017

    Bonjour Vanessa ton article est très accrocheur, toujours avec une pointe d’humour que tu rajoutes à chaque fois, finalement c’est ce naturel qu’on aime, parce que c’est la vraie vie!
    Cet article relate effectivement le complexe d’infériorité, l’aigreur de la communauté africaine spécialement les camerounais(le seul pays que que peux citer, car j’y viens) Où en effet dénigrer et rabaisser les gens devient naturel ! Ce fléau finalement qui empiètent sur les mentalités. Où les préjugés deviennent habituels. Les mentalités doivent changer. Et le fait de le dénoncer aujourd’hui prouve aussi que ça nuit, on ne peut malheureusement pas être insensible à ça quand on aime d’où on vient.
    Merci encore pour cet article

  • Marella
    avril 29, 2017

    Je suis d’accord avec Johanna… Mais je te comprends également. C’est ton caractère, un caractère qui s’est forgé par rapport à ton vécu (auquel on ne sait rien en réalité), je le respecte. Mais (sans vouloir te juger avec un mauvais coeur, sincèrement) tu « sembles » être un peu susceptible.

    Exemple: Je te suis depuis longtemps. J’adorais tes tutos makeup (c’est pas que je n’aime plus mais je suis vraiment nulle et ton niveau actuel est trop élevé pour moi lool), ta joie de vivre, ta spontanéité. Puis je t’ai unfollow sur snap- simplement parce que les sujets que tu traitais à ce moment ne m’intéressaient pas plus que ça. Puis je t’ai follow de nouveau – parce que mon snap était un peu Boring je voulais suivre davantage de blogueuses, photographes, artistes que de « friends » (il y a des périodes comme ça où on veut changer ses habitudes, voir autre chose). PUIS tu as fait un post DISS contre ceux qui unfollow et refollow. Bien sûr je me suis sentie visée. Mais soyons francs, où est le mal??? Ce n’est pas parce que je te follow, te unfollow, et te refollow que j’ai quelque chose contre toi. Ça m’arrive tous le jours des gens qui me follow unfollow refollow et c’est ça les réseaux sociaux.

    Cet exemple pour justifier pourquoi j’ai dit que tu semblais un peu susceptible. Je me trompe peut être (sûrement?), je n’ai pas la science infuse. Mais ça m’avait un peu déçu. Cela ne m’empêche pas de liker tes posts IG parce que je suis comme ça. Quand j’aime quelque chose j’aime le dire ou le montrer.

    Bref, je sais qu’il y a BEAUCOUP de haters surtout entre nous les femmes – mais prend quand même du recul avant de tirer des conclusions.

    • V.
      avril 30, 2017

      Bonjour Marella, je ferai un simple copier coller de ce que j’ai écrit à Johanna qui s’applique à plus d’une femme/un homme qui semblent vouloir « s’approprier sa vision des réalités de ma personnalité ». Si tu te sens visée par ceux que je pointe du doigt dans des contextes particuliers, ce n’est pas ma susceptibilité qu’il faudrait remettre en question mais la tienne… Follow et unfollow n’est pas un problème (je le fais très souvent également et je te rejoins entièrement dessus)… Mais certains cas de figures sont assez incroyables quand ils commencent cette dynamique. On t’insulte, te unfollow, te refollow, te bloque, t’écris et si tu ne réponds pas te débloque puis refollow pour t’insulter à nouveau etc… »qui se sent morveux se mouche » dit-on. Pourquoi te sentir concernée si tu ne l’es pas ? (Tu vois mon point ?).. Quant à ma susceptibilité (si elle est existante) se trouve sur des cordes plus stables que « le net et son avis »…

      Je te propose donc de lire ma réponse donnée à Johanna qui est la seule et unique version que j’ai à vous proposer….

      « Ah ha Hello, cet article est très distant de l’impacte qu’autrui peut avoir sur moi dans la mesure où 1, je ne suis pas au sommet, j’apprends sur la route, et 2 je me moque littéralement du qu’en dira t on. MAIS, CELA RESTE UNE RÉALITÉ dont beaucoup d’entre nous font face et dont nous nous devons de ne pas ignorer. Mettre les choses en exergue ne veut pas dire en souffrir. Il ne faut faire aucune confusion. Pour finir avec ton conseil, mon travail de blogueuse n’est pas fait pour être beau et encore moins à vos yeux (sans méchanceté car par texte tu pourrais mal le prendre et pour te lire souvent, je sais que ta remarque vient d’un bon endroit). Il est fait pour être authentique face à moi, mes plaisirs et mes idées. Je ne leur adresse aucun message, je ne suis là pour éduquer personne et lorsque j’ai une remarque à faire, les concernés sont toujours personnellement au courant.J’écrirais sur la pluie qu’on me demanderait de colorer mon ciel d’un soleil aux milles feux. Je n’ai jamais fait partie de ces gens qui colorient sans dépasser les bords.. Je comprends ton envie de parfaire le portrait mais ce n’est pas mon parcours, j’aime cette imperfection qui est mienne et surtout, qui me va. »

  • Cécilia
    mai 6, 2017

    OUPS je crois que je me suis fait cramer à regarder ton compte LINKEDIN ( je fais sa pour tout le monde je suis trop curieuse ). MDRRR. Perso ce n’était pas par jalousie ou autre c’est parce que j’aime bcp ton parcours et je voulais connaître tes expériences car je suis étudiante. Faire partie des meilleurs bloggeuse et maintenant ta vie au Kenya je trouve cela OUF. En tout cas ton message était claire pour toutes ces mauvaises langues.

    • V.
      mai 7, 2017

      Ahaha Mais voyons, je ne cite personne, ne te défends contre rien. Linked in est fait pour être vu… Je parle ici d’un cas précis des gens avec qui quelqu’un est déjà en conflit etc… qui bloque de partout Mais vas espionner Linked In..: Tu n’es pas la première lectrice à penser je vous mentionne…. La réalité est que vous êtes bien nombreuses et je ne peux vous retracer que sur Facebook, instagram, snap… linked in étant un réseau pro, je ne remarque que les noms qui me sont familiers ou dont j’ai besoin…. bise bise

  • GAELLE
    octobre 10, 2017

    Bonjour.

    Je sais que cet article a été publié il y a quelques mois mais je pousse un gros coup de gueule vis à vis des aigris qu’ On rencontre tous les jours. Au Cameroun on est sans cesse jugés (par des femmes ou par des hommes). Exposer son bonheur, profiter de la vie, donner son avis c est mal, c est de la pretention. A contriori, parler de son mal être c est être aigri parce qu’au vu de ce qu’ on peut déjà avoir on ne doit pas desirer évoluer. Les gens sont dans une compétition si malsaine au point où ils en oublient de penser à eux mêmes.
    Tout le mal que je souhaite a tous ceux qui sont dans les jugements intempestifs( même si on aime tous le gossip) c est de faire un travail sur eux et d avancer dans leur vie.

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